Nous avons tous le choix !
La stratégie de la libellule
Lorsque la libellule est confrontée à un obstacle, son premier mouvement est de changer d’axe. Elle teste aussitôt un passage par le haut, puis par le bas, de droite à gauche et de gauche à droite, et cela jusqu’à trouver une solution. Qu’elle trouve dans 95% des cas ! (Le lion ne réussit lui, ses attaques qu’à hauteur de 25% de ses tentatives). La stratégie de la libellule consiste à contraindre l’obstacle ou l’ennemi sans jamais faire marche arrière. Elle sait que tout se joue sur la notion de distance.
Bel exemple de prise de recul pour nous, humains ! Si nous laissons quoique ce soit nous contraindre, nous risquons l’étouffement. L’important est donc de prendre de la distance et (ou) du temps pour retrouver l’entièreté de nos moyens. Sinon, nous serons contraints de subir ou de reculer.
Nous ne résoudrons pas un problème en cherchant à passer en force. Faisons donc voler en éclats le plafond de verre (notre limite) en éclats !
VOUS ACCOMPAGNER POUR ATTEINDRE L’EXCELLENCE
« Notre vie ne commence que lorsqu’on comprend qu’on n’en a qu’une »
Que l’être humain soit un être fini, puisque son existence ne s’étend qu’entre les deux bornes que sont sa date de naissance et celle de sa mort, cela peut paraitre au premier abord, une évidence. Cette « finitude » que nous partageons d’ailleurs avec tous les vivants ne va pourtant pas de soi puisque nous vivons la plupart du temps dans l’oubli de notre mortalité et nous étourdissons dans la valse du quotidien en oubliant l’essentiel de ce que constitue notre vie et en cultivant l’art de paraitre afin de se sentir exister dans le regard des autres.
Pourtant, voir en face les limites de notre condition de mortel nous amènerait à prendre conscience que nous n’avons qu’une seule vie …
Par Isabelle Vitte-Blanchard
« Notre temps est limité. Ne le gâchons pas en menant une existence qui n’est pas la nôtre ! », Steve jobs
SUIS-JE ACTEUR DE MA VIE ? …
Sur un curseur de 0 à 10, à combien évaluez-vous :
- Le temps que vous libérez pour mener les activités que vous aimez ?
- Le nombre de fois où vous vous rangez à l’avis des autres ?
- Le sentiment de culpabilité que vous éprouvez ?
- La fréquence avec laquelle vous remettez en question votre façon d’agir ?
- Le nombre de fois avec laquelle vous remettez en cause vos préjugées et croyances limitantes ?
….et pour de vrai ? - Agissez-vous toujours conformément à ce que vous pensez et ressentez ? Sinon, pourquoi ?
- Respectez-vous vos objectifs de vie ? Sinon, écrivez-les.
- Reproduisez-vous souvent les mêmes erreurs ? Si oui, pourquoi ?
- Avez-vous identifié vos peurs ? Sinon, voici l’occasion rêvée pour les écrire.
- N’agissez-vous pas souvent en conformité avec les croyances que l’on vous a inculquées ?
Mais au fait, quelles sont-elles ?
TRADUIRE « JE DOIS » EN « JE CHOISIS »
1ère étape
Quelles sont les choses que vous vous dites devoir faire, toutes les activités que vous redoutez mais que vous faites quand même parce qu’il vous semble que vous n’avez pas le choix ?
2ème étape
Une fois la liste établie, cochez les choses que vous faites parce que vous avez choisi de les faire et non parce que vous en avez l’obligation. Insérez « je choisis de … » devant chaque point de votre liste
3ème étape
Après avoir reconnu que vous choisissez de faire certaines choses, tentez de trouver l’intention qu’il y a derrière ce choix en complétant la phrase de la manière suivante : « je choisis de … parce que je veux … »